
Les étrangers criminels pourraient être renvoyés de Suisse. L’initiative populaire fédérale, lancée par l’Union démocratique du centre (UDC), relance la question. Les Français ont tendance à approuver cette mesure. « Chaque Etat doit gérer son pays, lance Isabelle. Ils n’ont pas besoin de gérer en plus des personnes étrangères qui commettent des actes criminels. » Pour Nadine, c’est une question d’intégration : « Les étrangers doivent s’adapter au pays dans lequel ils vivent. »
Le fond du problème inquiète pourtant. Renvoyer les personnes dans leur pays d’origine n’est pas la solution pour Fanny : « Certains vivent en Suisse depuis des années, c’est compliqué de les faire partir. Je pense que c’est une manière de renvoyer le problème à plus tard. La criminalité en Suisse ne sera pas réglée pour autant. » Annette préfèrerait les voir rester en Europe.
Le même débat en France ?
Ce débat pourrait aussi être lancé dans l’Hexagone. « Nous sommes autant confrontés à la criminalité, peut-être même à cause d’étrangers », renchérit Isabelle. Certains voient en ces criminels un coût supplémentaire pour l’Etat. « Un hors-la-loi qui va en prison coûte de l’argent à la société et à ses contribuables », déclare Armand.
Le fond du problème inquiète pourtant. Renvoyer les personnes dans leur pays d’origine n’est pas la solution pour Fanny : « Certains vivent en Suisse depuis des années, c’est compliqué de les faire partir. Je pense que c’est une manière de renvoyer le problème à plus tard. La criminalité en Suisse ne sera pas réglée pour autant. » Annette préfèrerait les voir rester en Europe.
Le même débat en France ?
Ce débat pourrait aussi être lancé dans l’Hexagone. « Nous sommes autant confrontés à la criminalité, peut-être même à cause d’étrangers », renchérit Isabelle. Certains voient en ces criminels un coût supplémentaire pour l’Etat. « Un hors-la-loi qui va en prison coûte de l’argent à la société et à ses contribuables », déclare Armand.